Un sonnet nous offre un détour
Passionné, loin d’être rasant
En des subtils soupçons d’amour
Qu’il est petit et rassasiant
L’art de déposer une trace
À ces portraits que l’on aime
Des paroles qui nous emmènent
À des pensées qu’il retrace
Ce sonnet se déguste comme
Une tasse de thé d’arômes
Inlassables et remplis de vie
Il nous livre des romances
Enchantées ou non, il reste
Mon divin plaisir de la vie.
Aldrick LM.
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C’est à propos des oiseaux du paradis, de la Gnèse, très beau poème pur et divin.
« La huppe dit : ‘ toi, petit oiseau taquin,
Cette fausse modestie est absurde !
Si nous sommes tous destinés au feu,
Tu dois donc toi aussi faire l’ascension du Pyré brûlant.
Sois prêt pour la route, tu ne peux me tromper
Couds-toi le bec, je déteste l’hypocrisie !
Jacob pleure le visage absent de Joseph
Imagines-tu que tu pourrais prendre sa place ? »
(‘Attâr 1984, 50)