Divin sonnet – Aldrick Le Mat

Un sonnet nous offre un détour

Passionné, loin d’être rasant

En des subtils soupçons d’amour

Qu’il est petit et rassasiant

L’art de déposer une trace

À ces portraits que l’on aime

Des paroles qui nous emmènent

À des pensées qu’il retrace

Ce sonnet se déguste comme

Une tasse de thé d’arômes

Inlassables et remplis de vie

Il nous livre des romances

Enchantées ou non, il reste

Mon divin plaisir de la vie.

Aldrick LM.

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Aldrick M

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Aldrick, jeune homme de 21 ans. Passionné des Lettres et de Poésie. Parce qu'écrire ce qu'on vit c'est le vivre deux fois.
"Les mots il suffit qu'on les aime pour écrire un poème" R.Queneau

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Invité
26 janvier 2017 9 h 54 min

C’est à propos des oiseaux du paradis, de la Gnèse, très beau poème pur et divin.

Invité
26 janvier 2017 9 h 52 min

« La huppe dit : ‘ toi, petit oiseau taquin,
Cette fausse modestie est absurde !
Si nous sommes tous destinés au feu,
Tu dois donc toi aussi faire l’ascension du Pyré brûlant.
Sois prêt pour la route, tu ne peux me tromper
Couds-toi le bec, je déteste l’hypocrisie !
Jacob pleure le visage absent de Joseph
Imagines-tu que tu pourrais prendre sa place ? »
(‘Attâr 1984, 50)