Désarmement – Robert Cohen

Lorsque l’ovale soumis déserte par son

Sourire enfui vers un xyno sans ombre et sans

Lux où voyagent ses nefs telles des Alcyon

Et chambre le pupitre alors effervescent

L’oreille comme l’œil orphelins signent les masques

Apostrophe, virgule jouant à cache-cache

Sur la scène obscurcie de rires et de saxes

En souvenir de quelque énigmatique gouache

Arrêt sur discours

Lire sans penser

Vivre le rond des plumes

Et son sillon viral

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Robert Cohen

Robert Cohen (6)

Ce que je suis? Pffft. L’amour se cultive et je suis mauvais jardinier.

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6 Commentaires
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Lucienne Maville-Anku
Membre
21 février 2021 18 h 38 min

Votre texte soigné transmet un message qui contredit quelque peu le contenu de votre profil et me dit que vous entretenez avec rigueur le potager des mots que vous cultivez et ensemencez.

Plume de Poète
Administrateur
21 février 2021 17 h 43 min

Merci pour ce bel exercice poétique Robert !
Nous aurions aimé mieux vous connaitre mais votre présentation est assez succincte, ne trouvez-vous pas ?
Simplement pour mieux vous apprécier…
Au plaisir de vous lire à nouveau.