Lorsque l’ovale soumis déserte par son
Sourire enfui vers un xyno sans ombre et sans
Lux où voyagent ses nefs telles des Alcyon
Et chambre le pupitre alors effervescent
L’oreille comme l’œil orphelins signent les masques
Apostrophe, virgule jouant à cache-cache
Sur la scène obscurcie de rires et de saxes
En souvenir de quelque énigmatique gouache
Arrêt sur discours
Lire sans penser
Vivre le rond des plumes
Et son sillon viral
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Votre texte soigné transmet un message qui contredit quelque peu le contenu de votre profil et me dit que vous entretenez avec rigueur le potager des mots que vous cultivez et ensemencez.
Merci pour ce bel exercice poétique Robert !
Nous aurions aimé mieux vous connaitre mais votre présentation est assez succincte, ne trouvez-vous pas ?
Simplement pour mieux vous apprécier…
Au plaisir de vous lire à nouveau.