L’été endeuillé m’offre de nouveau le temps
le temps de vous offrir des proses
des proses qui vont faire de vous ce que je veux.
Ce que je veux ? votre sourire et votre regard
Votre regard j’en ferai un poème,
Un poème où vos baisers clandestins
seront un ombrage pour cacher vos envies
Vos envies qui se déposeront
comme un souffle sur mon corps
Mon corps qui appellera l’érotisme de vos pensées
Vos pensées nomades deviennent sédentaires
vous serez dépendant de mes appels
mes appels vous rendront fou
Fou de moi car avant de m’aimer
vous étiez ignorant du plaisir de l’amour
L’amour… ; Allez déposez-moi une main courante sur mon corps.
Mon corps qui s’est éveillé un soir d’été…
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©Anne Cailloux – 21/09/2018
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Superbe poème d’amour, vos mots font mouche à chaque fois. Bravo Anne!
En effet Magnifique texte Anne !
Merci pour vos merveilleux partages qui fleurissent chaque jour sur le site.
Il serait certainement judicieux d’ajouter votre biographie sur votre profil membre afin qu’elle apparaisse sous vos textes, car nous n’avons pas ici le détail de votre parcours et de vos motivations pour l’écriture ce qui renforcerait votre présentation auteur pour le plaisir des lecteurs, membres et visiteurs.
Merci d’y penser Anne…
Bien à vous,
ALain
Les mots me manquent pour dire combien j’ai apprécier les sons et le rythme de ce poème. Non, c’est faux, un mot me vient après sa lecture : MA – GNI – FI – QUE. Une vraie réussite, je n’ose dire l’une de vos meilleures, mais elle va figurer à coup sûr dans le haut du classement. Bravo encore…