COMBIEN JE TE DESIRE
Tes yeux, lancent des flammes,
Et semblent dire allons viens, qu’est-ce que t’attends
Tes yeux, sont tout ton charme
Et la vitrine de tes vingt jeunes printemps.
Tu n’sais pas combien je te désire,
Tu n’sais pas, ce que me fais ton sourire,
Tu n’sais pas, non, combien je te veux,
Tu ne sais pas idiote, ce que me font tes yeux.
Tes lèvres, sont une invite,
A les croquer comme un fruit mûr à pleines dents,
Tes lèvres, quand elles s’agitent,
Ressemblent à deux beaux papillons dans le vent.
Tu n’sais pas, combien je te désire,
Tu n’sais pas, ce que me fais ton sourire,
Tu n’vois pas, que je tremble de fièvre,
Tu ne vois pas idiote, ce que me font tes lèvres.
Ton corps, vraiment m’attire,
Et il agit sur le mien comme un aimant,
Crois moi, je te désire,
Et mon seul rêve est d’être enfin ton amant.
Tu n’sais pas combien je te désire,
Tu n’sais pas, ce que me fais ton sourire,
Oui je crois qu’tu m’as jeté un sort,
Tu ne sais pas idiote, ce que me fais ton corps.
Décembre 1999
J.P INNOCENZI