Et dans l’ensommeillement de ma douce, eau
L’humanité toute entière vacilla.
Mon coeur sur le podium du sien se trémousse,
Quand je passai la parole à mon coeur et déclarai ses sentiments .
Près d’elle mais loin de l’humain, je vois le temps passer sans moi.
Jeune, naïf, je lui chantai si bien mon amour,
Aujourd’hui, endurci, la voie vers son coeur me laisse sans voix.
Autrefois j’étais à la recherche de mon âme seule,
Ignorant qu’elle résidait en mon âme soeur.
Dors belle Cléopâtre, et soustrais toi de la cruelle réalité.
Toi,belle Cléopâtre, est la seule cause, conséquences et raison de ma personnalité
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