Dans sa robe ambre aux belles paillettes, Pétillante grâce dans ce corps élancé, En fonction de l’habit peut être replète, A la jambe fine, jolie et effilée. Peut importe en fait, elle est désirée. Ce n’est pas sa tenue que je veux conquérir, Même si ses atours cherchent à m’enivrer, Puisqu’elle m’éblouit par sa vue à chérir. A l’oreille penchée sur ses lèvres tendues, La bouche ouverte sur son désir brillant, Attendant ma langue impatiente, imbue, Qui apprécie l’envie à l’écho écumant. Sur le pied de son pas harmonieux et discret, Ses souliers de verre imitant Cendrillon, Je guide sa danse aux rythmes de l’attrait, Tintements délicats réitérant la passion. L’odeur enivrante du parfum délicat, Exhale l’espace d’une ambiance gaie. Je hume l’effluve des onduleux éclats, Le nez dans ses charmes tout prêt à m’exciter. Dans sa robe ambre aux belles paillettes, Pétillante grâce dans ce corps élancé, En fonction de l’habit peut être replète, A la jambe fine, jolie et effilée. Peut importe en fait, elle est désirée. Ce n’est pas sa tenue que je veux conquérir, Même si ses atours cherchent à m’enivrer, Puisqu’elle m’éblouit par sa vue à chérir. A l’oreille penchée sur ses lèvres tendues, La bouche ouverte sur son désir brillant, Attendant ma langue impatiente, imbue, Qui apprécie l’envie à l’écho écumant.
| Sur le pied de son pas harmonieux et discret, Ses souliers de verre imitant Cendrillon, Je guide sa danse aux rythmes de l’attrait, Tintements délicats réitérant la passion. L’odeur enivrante du parfum délicat, Exhale l’espace d’une ambiance gaie. Je hume l’effluve des onduleux éclats, Le nez dans ses charmes tout prêt à m’exciter. Ma propre haleine des échanges sensuels, Embaume mon être d’une douce chaleur. L’âcreté m’étourdit en arôme idéel, Découvrant au contact son exquise fraîcheur. Lorsque je l’empoigne par ses cotés paillards, La serre finement de ma main fébrile. Elle nourrit l’envie de boire son nectar, Qui touche ma lippe par l’entrée facile. Ils coulent sur mes doigts, flots insaisissables, Que je ne peux capter lorsqu’ils s’évaporent. Une perte d’elle aussi regrettable, Comme quitter le ciel juste après la mort. Après cette lenteur que le temps mesure, Son goût me pénètre au plus profond de moi. La soif aussi amer que l’âpre luxure, M’abreuve d’un plaisir qui me remplit de joie. Je déglutis gourmand son liquide spumeux, Léchant le bord du creux les dernières gouttes. Je me laisse soûler par ce gel délicieux, Qui fait parti de moi et broie tous mes doutes. Le réfrigérateur n’est pas si éloigné. Je m’approche de lui, je l’ouvre pervers. Je regarde autour, la chercher, la trouver, Décapsuler, goûter une autre bière…
© Bert Yvan – 24/05/2018
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