Ces instants qui n’appartiennent qu’à nous – Gyslaine LE GAL

Ce matin, je te parlais tout bas, de façon solennelle

Alors que dans mon cœur chantait un hymne plus doux

Je lisais tout au fond de tes prunelles,

Ces instants si merveilleux, qui n’appartiennent qu’à nous.

 

Devant cette nature, si belle et si pure

J’avais soudain envie de crier au ciel,

Tout cet amour qui me consume ; cette brûlure

Qui se ravive sous le vent, le soleil.

 

Ce matin dans tes bras, je te parlais tout bas

Pour ne pas rompre le charme, d’être là près de toi,

Pouvoir sentir ton souffle chaud dans mon cou

La douceur de ta main sur mon genou. 

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Lucienne Maville-Anku
Membre
17 mai 2020 13 h 49 min

Ce poème est beau
Ce poème est fin
Ce poème est doux
Ce poème est un chant
Ce poème est un baume
Tout simplement.
Gyslaine, votre texte est magnifique.

Invité
23 décembre 2017 19 h 02 min

Les tendres instants du matins!
Comme une renaissance!
Adrien.

Jean-Marie Audrain
Modérateur
1 février 2017 9 h 49 min

Magnifique rencontre des deux natures végétales et humaines !