Quand ma mémoire s’affole
Que s’étiolent les souvenirs
Tels les pétales d’une rose sur le point de mourir
Je me mets à courir, en tous sens, la langue bientôt pendue
Pour enfin comprendre que les souvenirs perdus
Se sont enfuis pour toujours
Et qu’en vain moi je cours
Après un passé
Auquel je n’ai plus accès !
Au nom de quoi ?
N’ai-je donc plus ce droit ?
Une foutue camisole,
Chimique il va sans dire
Me vole mes souvenirs…
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Merci, chère amie pour ce partage intéressant qui laisse espérer, par la qualité de l’écriture de son auteure que les choses s’arrangeront, que ça ira, comme disait un ami, car, il ne faut pas perdre de vue que tout a une fin : les bonnes choses, comme les moins bonnes ! Du cran que diable !