Le vent triste gémit au-dessus de son corps
Les rafales de souvenirs mêlent à peine ses cheveux
Et lacèrent d’échos vivants mon cœur sans courage
Les doigts dans la serrure ma porte sera fermée
Au matin les clochers répéteront sans cesse
Les airs gris du dimanche au-devant de l’église
Imposture cloitrée dans une autre moi-même
Vos dieux ne sauront rien de ce que j’ai perdu
Suivez-moi sur nos pas au pied du précipice
Un seul verre de moitié nous faisait basculer
La fièvre et la passion étourdissaient nos âmes
La vie qui s’éparpille et les volets baissés
A jamais à toujours à maintenant je t’aime
Dans nos rues interdites tous nos baisers volés
Les yeux vers l’avenir et les mains enlacées
Une pierre dans le cœur un plongeon sans retour
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merci pour
ce moment de lecture de prose
j’ai aimé ce passage
“Vos dieux ne sauront rien de ce que j’ai perdu
Suivez-moi sur nos pas au pied du précipice ”
pourtant le sombre vêt l’ensemble de sa cape !
merci
Oliver