Agonie Jean-François Joubert

La Patagonie l’aventure d’une vie, un souhait que tu faisais, je ne comprenais pas, pourquoi ! Pourquoi, là, ce lieu où l’on voit la Nature grand A, moi qui sillonnais le globe de mon univers de bleu, je pensais montagne, et froid, petit chauffage que son mes pieds avant d’être, de devenir, cet avenir casse-noix… J’avais vu le poumon de la flore des arbres Majuscules, dans la canicule et des corde de pluie, loin de ma ville de naissance, mon essence, Brest. Sur ma terrasse, je rase les coins de mur, conserve ma barbe et je ne suis pas barde, j’avance à reculons sur le fruit de ma raison né sans papa, sans maman, ni grand-parent, ivre de liberté, je voguais sur un flotteur sans arrogance, donnant des cours pas à la cour du roi, tu m’as montré Versailles, je ne sais comment, sur un banc, j’ai oublié le fronton du château, car je vivais dans ton sourire, tes yeux ouverts sur le monde, ton ventre mur et offert, tu m’ouvrais ton cœur, me délivrais de mon corps, et tu naviguais sur la toile des frontières, plein d’ami, une péniche, te souvient tu de ma question sur les quais de Paris, j’allai de port en port avant de devenir ce porc qui pique ses veines du pas de chance, l’un part et l’autre digresse, sa graisse en manteau de soie, je suis moche et je te laisse, car pas un Humain à accrocher une laisse même Multi-colore ou arc-en-ciel, je bande l’arc de mes souvenirs, et pense à ton fils, je voudrais y apposer un visage, le savoir joueur d’échec, de dame chinoise, et de petits chevaux, mes cheveux fous volent vers ton images, magie de l’esprit tu rie encore, de mes bêtises, de ma sottise, et je tise plus grand chose, tant le temps et un vilain gâteau quand je rêve au bateau de notre virage a cent quatre vingt degrés, notre mariage, je nage dans ma sueur c’est un rêve pas un cauchemar,  je me marre mais jamais ne me mire dans l’étincelle de la foudre qui tombe dru en Amazonie, ma folie !La Patagonie l’aventure d’une vie, un souhait que tu faisais, je ne comprenais pas, pourquoi ! Pourquoi, là, ce lieu où l’on voit la Nature grand A, moi qui sillonnais le globe de mon univers de bleu, je pensais montagne, et froid, petit chauffage que son mes pieds avant d’être, de devenir, cet avenir casse-noix… J’avais vu le poumon de la flore des arbres Majuscules, dans la canicule et des corde de pluie, loin de ma ville de naissance, mon essence, Brest. Sur ma terrasse, je rase les coins de mur, conserve ma barbe et je ne suis pas barde, j’avance à reculons sur le fruit de ma raison né sans papa, sans maman, ni grand-parent, ivre de liberté, je voguais sur un flotteur sans arrogance, donnant des cours pas à la cour du roi, tu m’as montré Versailles, je ne sais comment, sur un banc, j’ai oublié le fronton du château, car je vivais dans ton sourire, tes yeux ouverts sur le monde, ton ventre mur et offert, tu m’ouvrais ton cœur, me délivrais de mon corps, et tu naviguais sur la toile des frontières, plein d’ami, une péniche, te souvient tu de ma question sur les quais de Paris, j’allai de port en port avant de devenir ce porc qui pique ses veines du pas de chance, l’un part et l’autre digresse, sa graisse en manteau de soie, je suis moche et je te laisse, car pas un Humain à accrocher une laisse même Multi-colore ou arc-en-ciel, je bande l’arc de mes souvenirs, et pense à ton fils, je voudrais y apposer un visage, le savoir joueur d’échec, de dame chinoise, et de petits chevaux, mes cheveux fous volent vers ton images, magie de l’esprit tu rie encore, de mes bêtises, de ma sottise, et je tise plus grand chose, tant le temps et un vilain gâteau quand je rêve au bateau de notre virage a cent quatre vingt degrés, notre mariage, je nage dans ma sueur c’est un rêve pas un cauchemar,  je me marre mais jamais ne me mire dans l’étincelle de la foudre qui tombe dru en Amazonie, ma folie !

Nombre de Vues:

10 vues
Jean-François Joubert

Jean-François Joubert (11)

Deux vies, une gaie où véliplanchiste et vivant dans un aber, je jouais avec l'Océan, puis l'amour, les maux arrivent quand son sac part, j'arrive en avion à l'asile, deviens " clochard Céleste" et puis en 2003, en dépression, skippeur, bon, vous comprendre que j'aime jouer, avec les mots, aujourd'hui, je reste un homme presque mort, tant la morsure du temps me blesse, mais j'ai trouvé ma voix, mes mots, ma forme, alors je navigue sur la toile, et devient une étoile fuyante sur Terre, et ne compte plus mes bleues...Très heureux de trouver votre forum... j'y divaguerais, volontiers, en loup solitaire...

S'abonner
Me notifier pour :
guest

0 Commentaires
Commentaires en ligne
Voir tous les commentaires