Chère et adorée Madeleine,
Ton parfum et le gout de ta joue sur mes lèvres hantent mes pensées,
Ton amour éternel et sans limite m’a de l’amour tout montré,
Chère Madeleine, Grand-Mère éternelle, tu gardes mon cœur,
Des coups de la vie tu le préserves par ce souvenir du bonheur,
Forte, courageuse, résistante à ton heure, je reviens à toi chaque fois que j’ai peur,
Sans toi, je ne suis rien qu’un enfant perdu, sans attache,
Avec ton souvenir, mes peines et mes peurs se détachent,
Grâce à ta force et ton amour inflexibles, à l’humanité je me rattache,
Madeleine, Mamie, reconnue de tous comme mère des vertus,
Tu n’as jamais fréquenté les curés et pourtant tu as de la religion,
S’il existe, c’est auprès de lui que je devrais te retrouver,
Ou alors tu as eu raison de ne pas croire en cette religion.
©Stéphane
Merci Anne, touché.
Très bel écrit plein de tendresse, sur un cœur qui se sert..
Vous avez écrit le principale
Émouvant…
Anne