Quand la terre s’éveille,
dans quelques bruissements de draps.
Seul, tout seul, je l’épie.
Tel une vierge, timidement,
discrètement, découvre ses secrets.
Seul, tout seul, je l’admire.
Elle m’entoure d’une ombre blanche,
M’entraîne dans une farandole.
Seul, tout seul, je danse avec elle.
Des muses aux voix mystérieuses
De Victor Hugo se souviennent,
Et chantent “ Ô Terre, ô merveilles! ”
Que je t’aime!
Luciano
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