Rémi Guillet est né à La Guérinière en 1943 (les pieds dans l’eau comme il aime le dire tant sa maison était proche de la mer !). Le cri des mouettes, le vent d’ouest dans les grands arbres, le ressac, ont bercé sa petite enfance. Mais le bleu du ciel, celui de l’océan, ont aussi fait rêver l’adolescent un tantinet contemplatif tandis que l’ascenseur social qui commençait d’agir pour inciter les jeunes insulaires à rompre avec leur milieu naturel, a eu raison de ses aspirations intimes. D’autres, avec lui, ont accepté de revenir sur leur «après-guerre» pour que le récit ne soit pas qu’anecdotes autobiographiques ou ressentis de l’auteur qui a aussi cherché ici à souligner les nombreux aspects singuliers de cette île vendéenne très séductrice.
« Noirmoutier, une île qui séduit ! » par Remi Guillet (Présentation du livre sur Youtube)
Noirmoutier : Une île qui séduit – Le livre de Rémi Guillet sur Amazon
Ayant dépassé 80 ans, Rémi Guillet voit dans son rétroviseur 40 années consacrées à la recherche de chemins pour améliorer l’efficacité énergétique et écologique de la combustion des énergies fossiles et a souvent publié les résultats de ses travaux, travaux jamais véritablement abandonnés puisque l’hydrogène a récemment pris le relais dans ses préoccupations consacrées à ce thème.
Sa retraite venue au début des années 2000, il entreprend également des travaux universitaires « pour plus d’équité dans le partage des richesses produites par l’économie libérale ».
Dans le même temps, il consacre une part de ses activités à diverses formes de bénévolat, en associations ou en EHPAD et développe à cette occasion une méthode en aide à l’apprentissage de la lecture de la langue française.
En 2015, il écrit ses premiers ouvrages « littéraires » et son premier poème intitulé « Merci à nos sens » … (Cf. Rémi Guillet / Ed. Mers du Sud).
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Rémi Guillet est né à La Guérinière en 1943 (les pieds dans l’eau comme il aime le dire tant sa maison était proche de la mer !). Le cri des mouettes, le vent d’ouest dans les grands arbres, le ressac, ont bercé sa petite enfance. Mais le bleu du ciel, celui de l’océan, ont aussi fait rêver l’adolescent un tantinet contemplatif tandis que l’ascenseur social qui commençait d’agir pour inciter les jeunes insulaires à rompre avec leur milieu naturel, a eu raison de ses aspirations intimes. D’autres, avec lui, ont accepté de revenir sur leur «après-guerre» pour que le récit ne soit pas qu’anecdotes autobiographiques ou ressentis de l’auteur qui a aussi cherché ici à souligner les nombreux aspects singuliers de cette île vendéenne très séductrice.
