Sur les quais de Seine, regardant plus haut,
au loin, le poème du pont Mirabeau,
le temps sans doute comme l’eau.
Le vent l’emmène, le vent l’emmène,
las le vent non et nous nous en allons.
Sans que nos amours reviennent,
tout coule, mais le monde s’y baigne.
Sans aucun réveil sonne l’heure,
se couche le soleil et il meurt,
qui contemple demeure.
Sans que nos amours reviennent.
tout coule, mais le monde s’y baigne.
Dans nos souvenirs d’être chers,
de partout, se font des guerres.
Sans que nos amours reviennent,
Le sucre devenu amer
Les enfants sans raison s’y entraînent,
quelles scènes !
Je préfère le sel de mer,
comme le soleil,
à l’horizon quand il meurt…
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