Je prends le crayon pour refaire le monde, je me pose un tas de questions – qui cherche à comprendre sera franchement surpris. Je lis entre les lignes de ma propre destinée. Je me remplis d’autres possibilités de faire ce dont je rêve et ce que beaucoup rêve de faire. Est-ce que ce jeu est raisonnable ? qui a la rançon de la gloire ? Serons-nous à la fin du monde tous des hommes libres qui souffrent toute une vie avant de l’avoir fini ? Je voudrais répondre à toutes ces idées que me suggère le crayon toutes ces questions m’amènent quoi comme réponse ? Et quelle raison aurais-je de vouloir une puissance plus éclatante que le travail accompli, par cette énergie qui se détache de mes doigts – Une formidable force de fourmi qui grappille tout et partie d’un récit de vie en consumant les consonnes et fumant les fumiers avec un sourire d’enfant joyeux- La drogue ne m’a jamais donné d’air de musique particulier ( tu devrais te répéter ça dans ta chambre – ta cellule) Toutes les choses que nous sommes capable de dépasser le mieux c’est notre propre piège – notre corps et cette maladie qui ronge mon cerveau à faire plier le plus grand des hommes. Je pense que les grands hommes avaient une autre drogue que la coke ou l’héro mais l’emprise qu’ils avaient sur la foule en communion et alors qu’elle te comprend – quel kiff ça doit être. C’est dans cette foule que se trouve la réponse car elle est maitresse de la partition qui se joue et que forcément ils redoutent en retour. Les Grands ont le pouvoir de divulguer une autre voie, une Voie nouvelle pour l’esprit du commun. Pourquoi les gens t’écouteraient si tu enfonces des portes ouvertes- Alors, Il faut porter un message et ce message doit donner de l’énergie pour que le monde se l’imagine possible et meilleur. Possible de renverser l’encrier et le cours des choses, que nous devenions la nouvelle raison qui pousse le système à se dépasser – c’est quand tu te dépasses toi-même et que tu assures que l’homme est à-même de déplacer avec toi des montagnes.
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