Sur la planète il fait de plus en plus chaud,
Dans mon coeur il fait de plus en plus froid.
Tu m’as laissée sans débat,
Sur une Terre en plein chao.
*
Combien faudra-t-il de questions,
Pour obtenir des réponses,
Sur cette planète en surchauffe,
Que mon coeur se réchauffe.
*
De mes yeux je vois plus de déchets,
De mes oreilles j’entends plus de pluie,
Sur notre Terre plus d’inondations,
Et la température qui monte.
*
Ce n’est pas qu’une illusion,
Même pour ceux qui le nie,
Il faut trouver des solutions,
Pour que perdure la vie.
Ma planète tu as mal,
L’humain te traite mal.
Il existe encore des sceptiques,
Tout va toujours trop vite.
*
On dit que la maison brûle,
Et il y a encore des incrédules,
Qui nient et ne font rien,
La vie ne va pas bien.
*
Il n’y a pourtant plus l’ombre d’un doute,
La raison n’en est plus en questions,
A tous de trouver des solutions,
Il n’y a plus de temps pour le doute.
*
Chacun du mieux qu’il le peut,
Peut encore atténuer les choses.
Il n’est peut-être pas trop tard,
On peut encore y croire.
Je relis ce texte, ce beau texte qui ne devrait nul laisser différent, et je crie et mécrie en moi ce que j’écris: Mama Mia ! Terra Mia, Terra nostra !
Combien d’entre nous sur ce site ideal ont laissé l’encre de leurs plumes couler sur ce sujet, avec consternation, indignation, rage de volcan en éruption, empathie pour la sphère, la Création…
Ces textes pertinents que rejoint le vôtre, comme récemment « Écolo« , sont tous là bien parlant et protestant contre l’abus de la Terre. Cette guerre contre elle.
N’a-t-on le droit de nous taire. Au crime du silence, l’on doit renoncer. C’en est assez.
Il faut un changement, une vraie « conversion écologique » pour citer le pape François récemment décédé (hommages à lui) dans « Laudate Si« , une de ses lettres encycliques.
Bravo à vous.