L’effet chenille – Marie-Thérèse Vinoy

Fini les jours frivoles,
Le moral dégringole
Face aux prix qui s’envolent
Le blé, le tournesol,
Le gaz et le pétrole
Le prix du sang à Marioupol…

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Marie-Thérèse Vinoy (16)

Dans mon enfance, j'aimais réciter des poèmes. Après un bac scientifique, je me suis laissée influencer par une professeure de lettres et, au lieu de faire des études de langues comme je le souhaitais, j'ai opté, sans grande conviction, pour des études littéraires. Si celles-ci ne m'ont pas aidée directement dans mon choix de carrière, elles m'ont toutefois donné l'envie d'écrire à ce moment-là, notamment des poèmes mélancoliques, au gré de mes déceptions amoureuses et de mes frustrations.
Ensuite, la vie d'adulte et ses préoccupations diverses, les contraintes professionnelles et familiales m'ont éloignée de cette voie pendant de nombreuses années. Je n'ai plus écrit qu'à de rares occasions. Puis, récemment, la conjonction du confinement et de la découverte de poètes latino-américains dans le cadre d'un cours d'espagnol, m'ont redonné l'envie d'écrire.
A part la poésie, j'affectionne particulièrement les voyages. J'apprécie les félins, l'art nouveau, les grands airs lyriques et aussi la danse, bien que je ne sois pas très douée dans ce domaine. J'aime également jardiner et élaborer des plats ou des desserts à la fois savoureux et esthétiques, ainsi que des cocktails.

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5 Commentaires
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Martyne Dubau
Membre
17 mai 2022 1 h 29 min

Oui le frivole est bien mort
pas drôle tous les jours
de garder le moral

Hélène Lebougault
Membre
16 mai 2022 22 h 41 min

Il ne reste que le guacamole
Et la picole
Pour adoucir nos journées folles

Jean-Marie Audrain
Modérateur
16 mai 2022 16 h 46 min

Par bonheur reste frivole
Le prix des auréoles !