Les murs abîmés, des rues de Paris,
Ne me disent rien, vraiment rien.
Moi c’est le Havre
Vous c’est Paris, ma ville s’est tarie,
Mais pas l’amour pour son terrain.
Le Havre, signe de la paix, du port,
Où les cygnes sont des mariés
Avec pour horizon la mer du Nord,
Où les vents grisent les marées.
Le Havre, est aussi le soldat guerrier.
À juste titre la pierre,
Reconstruite par Auguste Perret,
Au ciment d’aujourd’hui, d’hier.
C’est l’ouvrage d’un millier de galets,
La mosaïque de plage.
À chaque passage où la mer balaie,
Le Havre tourne ses pages.
Quand la nuit ne s’est pas encor couchée
Les goélands à l’aurore.
Pleurent et s’écrient, comme un coq emouchet,
Les goélettes quittent port.
Le Havre, tu n’as plus le choix
C’est toi que j’ai choisi.
© Aldrick LM. – 03/01/2018
C’est tellement plus et quand même un grand symbole pour nos bateaux..
Bravo pour ses jolie mots.
Je ne connais guère ce Havre de paix. C’est certainement un beau port…(.Salut!) où l’on trouve de beaux galets…
Pardon pour ces tournures de mots… que j’aime aussi partager. Bravo.
Très beau poème qui donne envie de connaître cette ville
Bravo pour votre poème ! Le Havre est chatoyant avec ses cabines colorées pour ses cinq cents ans !
Nous aimons beaucoup Le Havre mais Paris aussi !
Bonne année à vous.