Une trouée dans une carapace de fer, la conscience morcelée
et le sens aigu d’aimer à nouveau
Je partirai, demain peut-être, à un nouveau point du jour où tu ne seras plus là
vêtu seulement d’une toile tressée de gouttes de pluie où bruit mon cœur de tant de joie, secoué, appelé et…………….. terrifié
C’était une gare inattendue que de rencontrer tout ce monde en toi
et j’ai crains longtemps descendre et vers toi tituber d’un premier pas
sans assurance ni filet et me sentir si nu et comme cueilli à froid
Sur un parterre d’images où fleurent les sens de parfums surannés
je m’endormirai ce soir sur la courbe d’un de tes cheveux bouclé
dans la faiblesse d’une émotion un bref instant libérée
Qu’il est si haut le mur du temps et des sanglots
qui m’emportent ce soir d’un trop plein de mots
et font trembler la vigie de mon amour blessé.
Ce poème est une bonne envolée lyrique !Merci pour ce partage! Bonne journée ensoleillée! Colette
Merci pour ce joli partage et belle journée à vous.
Pascale.
Bravo ! j’aime beaucoup…merci pour ce beau partage