Quand l’astuce se sera jouée du corps qu’il l’habite
Et au travers tous ces mondes qui l’auront défini
Apparaîtra alors de tous ces volutes qui crépitent,
Sa brume! Tout son spleen, vagabond et indéfini.
Là si las, trépigne cette entité et ses rêves ingénus
Jalouse de sa mémoire oubliée du vivant, son patatlan.
Y refleurira de ses branches, ses pétales où tout revit
Dans ce terreau recouvrant ce jardin si peu larmoyant.
Serions-nous partie prenante de ce scénario fatidique?
Avec aplomb nous le dévalons obéissant à notre fatalité
Dont plus d’un n’y verront point d’issues, leur finalité,
Dans ce tissu nécrosé inspirant leur désarmante logique.
Il y eu des épisodes monotones, leurs auras qui prévalait
Sur l’errance de notre désuétude modernisée, accablée.
Elles y virent l’abdication de la démesure dans ce menuet
Où tous et chacun battent la chamade de ce cloître médusé.
Le mardi,10 décembre 2019
Merci pour ce presque dernier souffle rendu avec légèreté malgré tour…