On ne peut guère mettre le temps sur pause,
Mais l’on se revigore en rêvant toujours,
Grace à quelques sentiments de velours,
Mais aussi grâce à quelques textes en prose.
C’est en rêvant que nous te voyons,
C’est en rêvant que tu nous donnes un peu d’amour,
Dans les grands océans d’illusions,
Dans une tendresse infinie, dans un éternel séjours.
Tu t’es envolé sans aucun efforts,
Pour nous laisser un profond silence d’or,
Il faut savoir sourire de son malheur,
Il faut savoir vivre malgré la douleur.
Tu avais les yeux de l’océan,
Dans tes yeux je grandissais,
Pour vaincre tes délicats boniments,
Nous aurions attendus tes noces d’argent.
Pour recoller les morceaux du passé, qui suscita un désarroi,
J’écrirai ton nom avec mon sang, sans rancœur,
Et glisserai mon cœur dans ton cœur,
Malgré les outrages du temps, la vie ne s’arrête pas.
©Dorian Bilquart